Découvrez sur cette page, le lore proposé par les journaux disponibles dans la fable « Les seigneurs de la mer »
JOURNAL PIRATE ESSEULé 1
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Ce que notre cœur désire, ce qui nous terrifie le plus, nos plus grands triomphes et nos pires erreurs... Ici, tout cela revient vous hanter.
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On raconte qu'il existe une taverne où les morts estimés peuvent boire librement, aller et venir à leur gré. Une rare lumière dans les ténèbres infinies.
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En ce qui nous concerne, nous nous attardons dans ce qui reste de nos vies, condamnés à tout répéter jusqu'à la rédemption. Jusqu'à ce que le Passeur nous appelle enfin.
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Et si nous restons, consumés par nos propres légendes, nous commencerons à nous affaiblir. Nous oublierons toute possibilité d'évasion, de changement, tout espoir.
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Nous devenons de simples personnages, des acteurs dans les récits que nous avons créés. Et quand l'histoire est tout ce qu'il reste de nous, alors nous sommes réellement perdus.
JOURNAL PIRATE ESSEULé 2
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Pas de doute, je suis sacrément dans le pétrin. J'ai dû me cogner la tête très fort en tombant par-dessus bord, parce que je n'ai pas la moindre idée de la façon dont j'ai échoué ici.
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J'imagine que ça ne sert à rien de se lamenter. J'ai rassemblé tout le bois que j'ai pu trouver et allumé un feu. Ça va sûrement attirer l'attention.
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Cet endroit est un peu lugubre. Ça me rappelle presque le récit où j'ai abandonné Rotten Roald pour pouvoir garder le butin.
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J'aurais juré avoir déjà écrit tout ça hier. Où était-ce avant-hier ? Ou le jour encore avant ? Je n'arrive pas à me souvenir.
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Navire en vue ! Enfin des secours... Oh, il y a quelqu'un de plutôt effrayant à la barre. Je ne peux pas m'empêcher de me demander ce qu'il y a sous ce masque...
JOURNAL PIRATE ESSEULé 3
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Le pire dans ma vie de prisonnier, à part l'odeur, c'était de me dire que j'avais seulement rêvé de m'évader...
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Puis le type barbu est arrivé. Enfin, je dis « arrivé »... Il a tiré un coup de canon dans le mur de ma cellule, pour sûr ! Vous parlez d'une entrée... Enfin, d'une sortie, en l'occurrence.
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Alors que nous nous éloignions, il m'a dit que la prison, c'était ça le véritable rêve. En fait, je m'étais échappé à ce moment-là ! C'était une de ces « météores », qu'il disait.
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La prison ne me dérange pas, surtout après avoir réussi une première évasion, alors je me suis fait un plaisir de me joindre à lui.
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Si les Frères de l'ombre peuvent me protéger, je me ferais un plaisir de lever l'épée en leur nom. Nombreux sont ceux à être de cet avis...
JOURNAL PIRATE ESSEULé 4
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Toute ma vie, on m'a dit que rencontrer Davy Jones équivalait à sombrer dans un cauchemar. Aujourd'hui, ses Frères de l'ombre m'ont épargné un tel destin!
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Mieux encore, on m'a promis de me faire sortir de la mer des Damnés, qui est ma prison depuis d'innombrables vies.
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Mon ancien équipage est à mes côtés, exactement semblable à mes souvenirs. Ils ne sont peut-être rien d'autre que le fruit de mes souvenirs brumeux, mais ils savent se battre.
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Jones nous a promis de mettre un terme à notre emprisonnement éternel. Ceux qui ont rompu le Code ne seront plus forcés à souffrir pour leurs péchés!
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Je prendrai les armes contre les pirates qui se sont détournés de moi. Je combattrai pour la liberté. Et je servirai les Frères de l'ombre, les seigneurs de la mer !
JOURNAL PIRATE ESSEULé 5
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C'est extrêmement déconcertant de ne pas connaître sa position précise dans le monde. J'aurais juré que mes hommes et moi nous trouvions à bord de mon vaisseau...
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Mais je suis un homme d'affaires, et je continuerai à servir les intérêts de la société. Je vois que le désaccord entre Jones et les pirates les a menés dans l'impasse, exactement comme cela s'est déjà produit.
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Ce doit donc être la bataille à laquelle je me préparais. Il n'y a aucune autre explication logique, je continuerai donc selon mon plan.
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Si nécessaire, les soldats protégeront le coffre de Davy Jones de leur vie. Le Hollandais volant ne tardera pas à détruire cette parodie d'alliance pirate.
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Puis, quand Sparrow sera mort et que Jones ne sera plus d'aucune utilité... Comme les liens affectifs, les relations non profitables doivent être rompues. Ce sont les affaires.
JOURNAL DE JACK SPARROW 1
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Les pirates ! Des rats. On apercevait tout juste la forteresse de Jones quand l'équipage a compris la nature de notre destination et s'est empressé d'abandonner le navire.
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Les seuls qui restaient, c'était Gibbs, qui m'avait déjà suivi au bout du monde, Anamaria, qui n'avait jamais fui un combat, et Scrum, qui... était là.
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J'ai utilisé une chaloupe renversée, une de mes méthodes favorites, pour me faufiler inaperçu, tout en guettant l'arrivée d'un éventuel coquillage suspect au service de Jones.
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Dans un élan surprenant d'efficacité, Ragetti avait récupéré le pendentif de Calypso, et sa mélodie me mena au cœur du Hollandais volant.
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Là, sur une étagère dans la cabine de Jones, j'ai posé les yeux pour la première fois sur ce qui allait devenir mon trésor. Le plus fabuleux butin dont un pirate pourrait jamais rêver. La clé vers d'innombrables mers.
JOURNAL DE JACK SPARROW 2
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Retourner à Tortuga fut comme retourner dans mon propre passé. L'île a eu beau avoir été incendiée au moins trois fois, son arôme doux et généreux est resté exactement le même.
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J'ai envoyé mon équipage sur la terre ferme avec un seul ordre : écouter aux portes, fouiner un peu partout, et dresser l'oreille, ou les deux, si elles sont intactes.
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Nous cherchions des légendes potentiellement lucratives, du style presque impossibles à trouver. Et j'essayais aussi d'éviter de croiser quiconque avait envie de me tirer dessus.
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J'ai visité un confortable petit taudis où on parlait d'un trésor. Pas n'importe quel trésor, cependant : une décoration brillante capable de transporter des navires entiers dans d'autres royaumes.
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Quand j'ai appris à qui le trésor appartenait actuellement, j'ai trouvé cela aussi intrigant que perturbant...
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Je n'avais aucune idée de la façon dont Davy Jones était revenu, mais je suppose qu'une fois Turner libéré, il y avait une place à prendre. Après tout, le Hollandais volant doit avoir un capitaine...
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Sachant que mon équipage serait plus réticent à l'idée de voler monsieur Face de poulpe, j'ai pris la seule décision sensée : je ne leur ai rien dit.
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De plus, j'ai entendu dire que Jones s'est attelé aux études dans une forteresse marine où même les sirènes ne peuvent l'espionner.
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Il prenait toutes les précautions pour se dissimuler, lui et son nouveau trésor. Avec un peu de chance, je pourrais entrer, sortir et m'enfuir sans attirer l'attention de Barbe-de-pieuvre.
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Après avoir décidé de dépouiller Jones de son bien le plus cher, tout ce qu'il me restait à faire, c'était de suivre ma boussole et définir un cap pour le Pearl.
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C'est à moi qu'il revient d'être le plus libre des pirates sur les mers. Avec le Black Pearl sous mon commandement et les étoiles pour nous guider, l'horizon réserve d'inépuisables aventures.
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Localiser lesdites aventures, c'est la partie délicate. Depuis cette sale affaire avec le trident de Poséidon, les péripéties brillent par leur absence.
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Je préfère espérer que le destin tissant ses tragiques malédictions sur l'océan, comme celle qui a accablé le pauvre maître Turner, n'a pas perdu sa capacité à m'émerveiller.
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Du danger, de l'intrigue, de la boisson à flots, et du butin rutilant à convoiter : ce n'est pas trop demander, si ?
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Je ne vois qu'un seul lieu qui me fournirait tout ce dont j'ai besoin.
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Là. C'est la vérité du trésor...
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Pendant un temps, j'ai cru qu'on s'en était tiré. Puis, le Hollandais volant a surgi des eaux, tous canons dehors.
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Nous n'avons aucun réel espoir de rivaliser avec lui, pas avec un équipage si réduit. Ce qui signifie qu'il n'y a qu'une alternative possible.
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Si nous pouvons mener le Black Pearl aux confins de la carte et passer entre les mondes, alors nous pourrions aussi semer Jones une bonne fois pour toutes.
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Ciao, Tortuga. Adiós, Isla de Muerta. Au revoir, Saint-Martin. Il est temps pour le capitaine Jack Sparrow de naviguer par-delà l'horizon.
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